Résilience K accompagne les victimes et les professionnels face aux abus et à leurs conséquences traumatiques

Vous connaissez la maltraitance, vous avez subi  l’inceste, vécu à un moment ou un autre de votre vie une situation d’emprise, une agression sexuelle, des traumatismes, des abus ?

Venez participer à nos stages de reconstruction et de croissance post-traumatique.

Vous êtes psycho-praticien, psychothérapeute, psychologue, professionnel du secteur médical, para-médical, socio-éducatif ou accompagnant en relation d’aide ?

Venez-vous former avec nous pour accompagner au mieux les personnes ayant vécu l’abus.

Maltraitance familiale, violence conjugale, abus sexuel, spirituel et emprise sectaire : une réalité !

  • Un homme sur huit (13 %) et près d’une femme sur 5 (18 %) déclarent avoir subi des violences para ou intrafamiliales d’ordre psychologique, physique ou sexuel (dont l’inceste) avant l’âge de 18 ans.

    (Enquête Virage menée par l’INED depuis 2015 publiée en novembre 2020)

    Un Français sur 10 affirme avoir été victime d'inceste, soit 6,7 millions de personnes.

    (Sondage IPSOS réalisé pour l’association Face à l’inceste publié en novembre 2020)

  • En 2019 : 

    • 146 femmes ont été tuées par leur partenaire ou ex-partenaire

    • 27 hommes ont été tués par leur partenaire ou ex-partenaire

    • 25 enfants mineurs sont décédés, tués par un de leurs parents dans un contexte de violences au sein du couple.

    (Etude de l’observatoire National des violences faites aux femmes)

  • Le nombre de femmes âgées de 18 à 75 ans qui au cours d’une année sont victimes de viols et/ou de tentatives de viol est estimé à 94 000 femmes.

    Dans 91% des cas, ces agressions ont été perpétrées par une personne connue de la victime. Dans 47 % des cas, c’est le conjoint ou l’ex-conjoint qui est l’auteur des faits.

    Suite aux viols ou tentatives de viol qu’elles ont subis, seules 12 % des victimes ont porté plainte.

    (Enquête « VIRAGE », INED, 2016.)

    • De 1993 à 1995, 155 morts (suicidés ou assassinés) et 5000 blessés ont été recensés comme victimes de phénomènes sectaires.

    (Rapport présenté à l’assemblée nationale au nom de la commission d’enquête sur les sectes)

    • Le nombre de victimes mineures d’agressions sexuelles commises par des prêtres, diacres, religieux ou religieuses, s’établit à 216.000 sur la période allant de 1950 à 2020.

    • Entre 2.900 et 3.200 clercs et religieux ont abusé d’environ 216.000 mineurs ou de personnes majeures vulnérables entre 1950 à nos jours. Ils sont responsables de 65,4% des agressions au sein de l’Église.

    • Les laïcs, hommes ou femmes, travaillant dans un établissement de l’enseignement catholique ou un internat catholique ou missionnés pour rendre un service l’Église sont à l’origine de 34,6 % des agressions, soit plus d’un tiers des agressions sexuelles.

    (Rapport de la CIASE)

Pourquoi Résilience K ?

K comme l’unité de mesure de la résilience

La capacité de chacun à construire positivement sa vie après ces épreuves.

Un art qui fait de la porcelaine brisée une œuvre d’art plus précieuse encore et nous enseigne qu’une croissance post-traumatique est possible.

K comme l’art japonais du Kintsugi

Une équipe de 3 thérapeutes partageant une vision commune de l’accompagnement :

Prochain évènement : Le module "Se ré-approprier l'estime de soi" débute en mai 2024

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Prochain évènement : Le module "Se ré-approprier l'estime de soi" débute en mai 2024 〰️

Victimes d'abus : accompagnement et soutien psychologique

Afin de se reconstruire et de se reconnecter avec elles-mêmes, les victimes d’abus - quels qu’ils soient - ont besoin d’un accompagnement et d’un soutien psychologique adapté à leur situation. Résilience K soutient chacun dans le développement et l’amélioration de son propre chemin de résilience.

Comment ?

  • Un travail groupal comme lieu de relations vitalisantes et destiné à faire soutien dans un processus de reconstruction ;

  • Un travail thérapeutique toujours accompagné en co-animation pour comprendre, et sortir de la honte ;

  • Un travail psychopédagogique pour retrouver son pouvoir d’action et de changement.

Résilience K vous accompagne dans ce processus à travers différentes propositions :

Le groupe de thérapie continu permet de partager les problèmes parfois complexes du quotidien rencontrés par les personnes qui ont vécu l’abus et de travailler ensemble à une transformation. Ce dispositif permet d’échanger à une fréquence régulière au sein d’un groupe durable dans le temps et dans un cadre confidentiel.

Suivi continu (groupe de 5 à 10 personnes)

Modules thérapeutiques (groupe de 5 à 10 personnes)

Partager, comprendre, expérimenter, s'entraîner et partager, voilà les 4 maîtres-mots qui guident nos différents modules thérapeutiques afin de s’émanciper des événements qui nuisent à une bonne qualité de vie. Ce dispositif permet de se concentrer sur une thématique donnée pour l’explorer en profondeur durant 3 week-ends en groupe fermé pour ouvrir des voies de transformation.

Stages thérapeutiques (groupe de 5 à 10 personnes)

Un stage est l’occasion de se focaliser durant 3 jours sur une thématique donnée. Ces 3 jours permettent de prendre conscience de la manière dont, par rapport à un thème précis, les abus peuvent avoir étouffé nos désirs les plus profonds. Le but étant de recontacter et de libérer notre énergie de vie.

Atelier psychopédagogique (groupe de 5 à 12 personnes)

Ce dispositif en groupe fermé d’une durée d’un an met l’accent sur la compréhension de vos fonctionnements, l’acquisition de ressources, et l’apprentissage d’outils d’auto-guérison et de possibilités de ressourcement. Nous élaborons ensemble des stratégies pour se sentir plus présent dans son corps, apprivoiser les émotions, pour mieux vivre le quotidien.

Prochaine formation AB.I.I.M.E. : Démarrage en mars 2024 -- Prochaine supervision de groupe AB.I.I.M.E. le 1er mars 2024

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Prochaine formation AB.I.I.M.E. : Démarrage en mars 2024 -- Prochaine supervision de groupe AB.I.I.M.E. le 1er mars 2024 〰️

Formation pour professionnels :

Mieux accompagner vos patients victimes de traumatismes

Les traumatismes relationnels sont divers. Leurs conséquences sont souvent délicates à identifier et à nommer pour les patients et parfois également pour les professionnels qui les accompagnent. Ils sont pourtant fréquents et perturbent fortement le quotidien des personnes impactée.

Nos formations ont pour objectif de vous permettre en tant que psycho-praticien, psychothérapeute, psychologue, professionnel du secteur médical, paramédical, socio-éducatif ou accompagnant en relation d’aide, d’accompagner de la meilleure façon vos patients qui ont subi ces abus.

Résilience K vous propose de vous former sur différents axes :

L'abus sexuel, le climat incestuel, l'inceste, la maltraitance, l’emprise sont des problématiques couramment rencontrées dans notre pratique, qu'elles soient explicitement évoquées ou pas. Les professionnels doivent être en mesure de repérer ces situations qui ne sont pas toujours identifiées par les patients. Il doivent comprendre l'impact profond de ces traumatismes, connaître les aspects légaux qui les impactent dans leur pratique. Et surtout, plus que jamais, ils doivent être en capacité d’ajuster leur présence et leur approche pour répondre aux besoins spécifiques des situations rencontrées.

Formation AB.I.I.M.E. : ABus, Incestuel, Inceste, Maltraitance, Emprise

Supervision de groupe AB.I.I.M.E. : Pour les situations d’abus, d’emprise, de climat incestuel, d’inceste, de maltraitance.

La supervision de groupe, réservée aux personnes ayant suivi la formation AB.I.I.M.E. est un espace de formation continue permettant d’approfondir et d’asseoir les connaissances acquises lors de cette formation à partir des situations cliniques apportées par les participants.

Supervision individuelle orientée vers les situations d’abus, d’emprise, de climat incestuel, d’inceste, de maltraitance.

Un espace individuel de supervision - ponctuel ou régulier - pour explorer les situations complexes où l’abus, l’incestuel, l’inceste, la maltraitance, et/ou l’emprise sont avérés ou soupçonnés.